vendredi 4 février 2011

La CSQ poursuit le RLQ et manque d'humour

La centrale syndicale CSQ met en demeure le blogue les Analystes et le blogueur libertarien Reynald Du Berger.

Curieusement, ce ne sont pas les citations mises en valeur par notre concours qui ont piqués au vif la centrale. Non! La CSQ a trouvé des citations encore MEILLEURES! Mais, malgré que l'effort soit louable, la CSQ ne peut pas participer à postériori au concours.

Ainsi, le 30 janvier dernier, Reynald Du Berger critiquait la gauche : « …on a beaucoup trop de moumounes gauchistes ! Avez-vous remarqué qu'au Québec (et c'était remarquablement représenté le 23 octobre au Réseau Liberté-Québec), la droite, c'est jeune et masculin, la gauche c'est formé d'hommes vieux et féminisés et de vieilles femmes. »
Un autre blogueur, papajohn, a ajouté que ce n'est « pas pour rien que la vasectomie est si populaire au Québec. Il y a longtemps que les femmes ont compris que pour avoir la société qu'elles veulent, rien de mieux qu'un gros matou castré… reste que l'on est entouré de moumounes et d'irresponsables, pas pour rien que plus rien ne bouge… »
Notez que ce sera l'occasion idéale pour nos droitistes de se présenter comme victime de l'énorme bureaucratie syndicale. Ils n'attendaient que ça, de jouer aux martyres.

2 commentaires:

David Gendron a dit…

Les tendances répressives pro-censure à la sauce Castro-chavézobolchéviste de la mafia CSQenne s'affichent trop clairement ici, en raison de leur poursuite stupide.

Ceci dit, ces propos de drouatistes sont profondément ridicules!

Nicolas a dit…

À mon humble avis, la CSQ fait ici une grosse, grosse gaffe politique. À cause d'eux, les analystes.ca vont jouir d'une mega-pub, pouvoir se présenter en victimes. Tchèque ben ça, ça va être présenté en combat de David contre Goliath (pis ce ne sera pas la CSQ qui va avoir le rôle de David!). Heille, un gros syndicat qui veut censurer de simples citoyens... L'aubaine pour la droite libertarienne! Par ailleurs, je n'y peut rien mais l'utilisation de la censure, mesure liberticide par excellence, me répugne au plus haut point.